Sataag
« Bienvenu dans Sataag, la ville ou les Nains ne sont bons qu’à travailler comme esclaves et les elfes à servir d’isolant dans les caves à vin. » - Charles de Veredi.
Sataag, la capitale d’un pays anarchique, ou presque, la seul loi à respecter en ces lieux est : respecter la hiérarchie des races.
Il s’agit d’une cité comparable à Vailleine de par sa grandeur, pourvue d’une architecture gothique riche en acier. D’immenses tours métalliques bordent la ville, ainsi que de grands remparts, certains vous diront que ces structurent protègent plus les habitant de l’extérieurs des citadin que l’inverse.
Cette ville concentre aujourd’hui toute la haine de ce qui fut l’empire Saïen envers les autres races que les fils d’Ebor, elle est toujours dirigée par l’Ordre et suit la même idéologie. Se présenter dan cette ville sans armes ne serait que pur folie, ceci ne voulant pas dire que si présenter armé est raisonnable. Corruption et Manipulation sont des maitres mots dans cette société où pourtant l’honneur n’est pas une valeur oubliée, où les mercenaires savent encor tenir leur parole mais où il ne faut surtout pas oublier la leur demander.
Idéologie saïenne
L’idéologie Saïenne est fondée sur une hiérarchie des races :
Les Saïens viennent en premier, considérés comme les « vrais fils d’Ebor »
Viennent ensuite les humains (bien que minime, la nuance humain et saïen est importante à leurs yeux) et les gobelins, lesquels sont dignes de coopérer avec l’Empire Saïen.
Les Nains et les peuples oubliés sont considérés comme inferieurs, souvent réduit en esclavages des qu’ils pénètrent les frontières du Sataag.
Aux elfes est réservé un jugement tout particulier, suite à la trahison de Raz’Arken, ceux-ci ont prouvé leur manque de respect envers l’Ordre. Dans un premier temps, tous les elfes du Sataag furent arrêtés et dépecés, les tapis faits de leurs peaux décorèrent les murs d’enceinte de la cité durant plusieurs années mais l’odeur ne tarda pas à gêner les populations environnantes. De grands feux annuels furent donc organisés, ou furent brulés tous les elfes capturés chaque année, quand un ingénieur saïen Fenrir Kallas découvrit les vertus isothermes de la chair elfique. Dorénavant, les elfes tués sont récupéré pour que leur chair serve à isoler les caves de la ville et un vrai commerce s’est fondé là-dessus.
Les Saïens ne parlent pas de réincarnation ou d’une quelconque vie après la mort, la vie est unique et l’honneur est en option. Rien ne vaut une vie dans l’Honneur, mais si un jour le choix se présente entre perdre vie et honneur, la vie est privilégiée. Ainsi la philosophie saïenne privilégie les desseins individuels du citoyen.
L’Histoire du Sataag ne traite que de « périodes de trouble » avant le « Premier Age » Saïen, l’ère actuelle est appelée « La Trève » qui bientôt se finira pour laisser place au « Second Age »…