Marqué par la guerre, toujours sur le terrain, la vie de Maeg n’a pas été de tout repos. Dès son plus jeune âge, il fut initié aux armes. Il faut croire que dans sa famille ceci était une sorte de rituelle. En effet, tous les membres de la maison maitrisaient une technique de combat différente. La mère du garçon était une cavalière réputé, sa sœur une jeune archère prometteuse et son père un combattant a l’épée impressionnant. Proche de tous les membres du logis, Maeg fut initié à chacun de ses arts de combats. Très vite, il partit avec son père en mission de garde rapproché. N’allez pas croire que le garçon été un génie des arts de combat. Bien que très habile et assez discret, il travaillait énormément pour pouvoir avoir un niveau de plus en plus important. Son vrai combat arriva lors de sa seizième année. Le garçon gardait une caravane seul lorsqu’un groupe de bandit attaqua. Au cour de la bataille, Maeg s’isola avec le chef et l’attaqua. Le combat fut d’une rapidité d’action impressionnante et une touche suffit au jeune homme pour tuer son adversaire.
Suite à cela, il ne tarda pas à se faire une réputation dans le monde. Bon nombre de personne connaissait ses exploits, mais peu d’entre eux connaissaient son véritable nom. Un groupe d’Aède elfes le surnommèrent Maeg, soit « Perçant ». Ce pseudonyme lui a était attribué pour ses compétences a l’épée et pour une botte qu’il utilise souvent qui achève ennemis en lui infligeant une série de coup d’estoc.
La petite enfance du guerrier n’a pas été très intéressante. Il est simplement bon de noter que la famille du garçon a été décimée lors d’un raid et que depuis ce jours, le caractère du garçon a été changé. Préférant quitter sa terre natale, il a voyagé quelques années a travers le monde et a développé une sorte de philosophie personnelle quand aux armes. Le jeune homme pense en effet que chaque arme a une âme et qu’ainsi, il faut la respecter, l’adorer et même la craindre. Ce mode de pensée lui arriva chez les nains lorsque l’un d’en eux lui confia une masse d’arme a l’âme sois disant puissante. De combat en combat, l’arme se montra redoutable et semblait se mouvoir toute seule. Le garçon n’en croyait pas ses yeux : s’était donc vrai.
Maeg a toujours eu de nombreux contacte et amis dans le monde. C’est pour cela qu’il ne tarda pas à rencontrer des personnes dont la philosophie se rapprochait de la sienne : les Adorateurs de la Lame Hentäscion. Si une masse pouvait se mouvoir toute seule, alors il devait bien exister une épée si formidable, réservée a un être unique. Un élu…
(Pas trop d’inspi. j’étofferai plus tard...)